Découvrez ce qui est vôtre
Quelques résidents de mon état ont découvert des trésors perdus. Beaucoup ont récupéré de l’argent, des biens ou d’autres avoirs financiers. Grâce au programme d’état I-cash, Melva a récupéré 296,33 $ que son ancienne banque ne lui avait pas versés. Robert s’est connecté au site web du programme et a découvert que sa grand-mère lui avait légué 3 000 $. La devise du programme est : Découvrez ce qui est vôtre.
Théologie de route
Je roulais en direction sud sur l’autoroute lorsque j’ai croisé un panneau publicitaire qui présentait ce message inquiétant : L’ENFER EST RÉEL. Je suis d’accord avec ces mots, mais pour une raison ou une autre, cette leçon de théologie de bordure de route m’est vite sortie de la tête. En faisant le chemin inverse vers le nord, l’autre côté du panneau m’a tirée de mon hypnose avec ces mots : JÉSUS EST RÉEL. Ces deux vérités affichées dos à dos m’ont amenée à me questionner : Pourquoi la réalité de l’enfer ne me pousse-t-elle pas à partager Christ plus souvent ?
Sauvetage nécessaire
Qu’obtient-on en combinant un frisbee et une bouée de sauvetage ? La réponse est une invention appelée ResQDisc. Quand un sauveteur la lance à une personne en train de se noyer, la longue corde renforcée se déroule et permet un retour en lieu sûr de la personne en détresse. Grâce à ce dispositif, un sauveteur peut venir en aide à quelqu’un sans avoir à sauter lui-même à l’eau.
Des supplications effrénées
Ce devait être un simple aller-retour au magasin, je n’avais besoin que de savon à lessive. C’est alors que ma fille a repéré les jouets en solde. Elle a supplié : « Est-ce qu’on peut regarder les jouets ? » J’ai répondu : « Peut-être. » Alors, elle s’est servi d’une tactique de négociation populaire chez les enfants : la supplication effrénée. « Maman, s’il te plaîîîîîîîîîîîîît ! » Elle a continué jusqu’à ce qu’on ait des poupées et des livres jusqu’au cou.
Multitâche
Dernièrement, un pasteur a dressé la liste de tous les rôles qu’il lui arrivait de jouer. On y retrouvait : théologien, conseiller financier, activiste communautaire et mentor. Ces rôles avaient émergé de différents besoins des membres de son Église. Puisqu’il est important pour nous de répondre aux besoins des autres, il est possible que, sous une trop forte demande, nous nous mettions à servir les hommes plutôt que Dieu.
Libéré
Éric Smallridge appelle Renée Napier « un ange ». Il dit cela parce que Renée lui a pardonné d’avoir tué sa fille Meagan dans un accident causé par l’alcool au volant. Bien que Renée ait pris beaucoup de temps avant d’accorder son pardon, Éric dit qu’il « a trouvé son salut éternel grâce à cela ». De plus, le pardon de Renée a encouragé sa famille à faire de même. Ensemble, ils ont demandé au tribunal de libérer Éric de prison après qu’il ait purgé seulement 11 ans de sa peine de 22 ans. Le fruit du coeur indulgent de Renée a donné à Éric une « seconde chance ».
La croix et le poignard
La musique heavy métal, les motos, les voitures à puissant moteur. Toutes ces choses étaient présentes au service annuel « La croix et le poignard » de l’Église Life Bridge. La congrégation a créé ce service spécial pour les gens qui n’assisteraient pas à une réunion régulière du dimanche matin. Le pasteur principal Bill Campbell a déclaré : « Les gens peuvent venir vêtus de cuir, s’ils sont des motards… Peu importe leur habillement, ils sont les bienvenus. »
Vas-y
L’évangéliste d’origine australienne Nick Vujicic est venu au monde sans bras ni jambes. Toute sa vie, il a eu le profond désir que Dieu le guérisse. Nick a même prié pour que ses membres se développent. Lui et quelques amis chrétiens ont même façonné des bras et des jambes d’argile et ont prié pour qu’ils deviennent chair. Même si cela ne s’est pas produit, Nick prie toujours : « S’il te plaît, donne-moi des bras et des jambes. Mais si tu ne m’en donnes pas… j’ai confiance en toi. » Il dit que son engagement envers Jésus est de tout simplement « rechercher son plan ».
Sculpter une souche
Un matin, j’ai vu un homme abattre un arbre avec une scie à chaîne en face de bâtiments d’exploitation locaux. Il était toujours là en après-midi, s’acharnant sur la souche en inclinant sa scie de façon inhabituelle. Quelques jours plus tard, je suis passée près de la souche qui avait maintenant l’aspect d’un épi de maïs. L’homme n’avait pas simplement abattu l’arbre, il avait sculpté des rangées de grains que l’on apercevait entre les feuilles de l’épi, l’emblème agricole du Midwest des États-Unis.
Des amis dans l'arène
Tim Kreider a écrit au sujet de la vie moderne dans la tribune libre du New York Times. Dans son article, intitulé « Le piège d’un horaire surchargé », il raconte qu’un jour, il a contacté un ami pour l’inviter à passer du temps avec lui. Ce dernier a répondu qu’il était occupé, mais qu’il pourrait peut-être « manquer quelques heures de travail, si c’était important ». Kreider n’a pas insisté. Il a décrit l’emploi du temps de son ami comme étant « un brouhaha fort et assourdissant qui le forçait à crier pour être entendu ».